« Ces invocations peuvent être lues », indiquait l’auteur dans la préface de son ouvrage, « le matin depuis le temps de la prière d’avant l’aube (fajr), jusqu’au temps de la prière de la mi-journée (zuhr) ; et le soir, depuis le temps de la prière de l’après midi (‘asr), jusqu’après la prière de la nuit (‘ishâ’). Et ce, individuellement et en groupe ». Il insistait sur la nécessité de se montrer assidu dans la pratique du rappel, qui est l’essence même de l’Islam. Parlant de cette wazîfa (le devoir quotidien que le croyant s’emploie à réaliser en pratiquant l’évocation de Dieu), il ajoutait : « Celui qui manque de la réciter entièrement, qu’il ne néglige pas d’en réciter au moins une partie, afin qu’il ne prenne pas l’habitude de la négliger et de l’abandonner ».
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.